SARS_CoV_2 : Le contre-la-montre d’une bataille pulmonaire.

 K. Serrhini (Biologiste indépendant). Mai 2020.

C’est impressionnant, n’est-ce pas ? De voir comment un virus tel que le covid_19 écrit son appellation pandémique dans l’histoire de l’humanité, et à cette ère-ci. Mais c’est très frappant de voir aussi toute cette grande incapacité et confusion au niveau de l’élite scientifique. Pourtant et en réalité, ce n’est biologiquement pas aussi énigmatique que ça en a l’aire.  

En bref, les complications d’une infection virale productive comme celle du SARS_CoV_2 sont dues aux accumulations des cellules immunitaires (ex. Macrophages), et les lysats (Débris et fluides cellulaires = micro-résidus) issus de la lyse totale des cellules-hôtes lors de la Libération des virions. Ces agglomérations peuvent générer de très graves obstructions des vaisseaux sanguins et lymphatiques, mais surtout des voies pulmonaires qui par conséquence peuvent provoquer la mort par asphyxie. Et ce sont justement ces entassements de micro-résidus qu’il faut cliniquement éviter au lieu de se pencher sur l’éradication du virus qui, tardivement, sera éliminer par le propre système immunitaire de la majorité des personnes infectées.

En fait, le corps humain réagit habituellement devant toute agression infectieuse par une réponse inflammatoire dont le but est de débarrasser les tissus et les organes atteints de :

·       L’agent infectieux.

·       Des micro-résidus générés par l’infection. Qui doivent être : Ramasser, dégrader et recycler.

Sauf que dans le cas de cette nouvelle infection par le SARS_CoV_2, l’élimination de ce virus par le système immunitaire nécessite préalablement plusieurs jours pour mettre en activité un nombre important de cellules spécifiques pour reconnaitre et éliminer ce nouveau pathogène. Survivre alors à une infection, viralement très productive et par conséquence cellulairement très destructive comme celle du SARS_CoV_2, dépend d’abord et avant tout de la capacité de la personne infectée d’empêcher la formation de ces obstructions et par-là de son propre Potentiel Cellulaire Individuel de Recyclage (PCIR). Ce qui, dans ce cas-là, n´est pas un problème pour la majorité de la population mondial. À l’exception de ceux avec des cancers, post-cancers, post-cancers-thérapies, post-traumatismes, les personnes âgées ou ceux qui ont certaines maladies chroniques. Et si ces exceptions indiquent quelque chose, alors elles indiqueront majoritairement la sérieusité du phénomène biologique complètement oublié et ignoré concernant l’accumulation des micro-résidus non-recyclés chez les êtres vivants, ses causes et ses graves conséquences pathologiques.

Incontestablement donc, la grande mortalité qui affecte ce groupe d’individus suite à une infection par covid-19 est due au fait que cette nouvelle infection ne fait qu’enrichir les dépôts de micro-résidus non-traités déjà entasser chez ces personnes et dont les conséquences en plus, et devant cette nouvelle et incessante génération de débris cellulaires, peuvent arriver malheureusement jusqu’au déclanchement précoce d’un fatal choc cytokinique (Cytokine release syndrome, CRS), mortel dans la majorité des cas.  

En compensation, la méthode clinique la plus efficace pour lutter contre les infections par les virus du SARS ne peut se passer de substances catalysantes du recyclage des micro-résidus continuellement générés par ces agressions virales. Une stratégie que non seulement permettra d’éviter les occlusions des vois pulmonaires, mais aussi d’empêcher celles des vaisseaux sanguins et lymphatiques nécessaires à la bonne adéquation de la réponse inflammatoire en cours.

Thérapeutiquement alors, On propose l’administration d'un cocktail enzymatique ¨Recyclin¨ à toutes les personnes infectées par le covid_19 dont le but de favoriser et accélérer le recyclage des micro-résidus générés par cette infection et éviter ainsi toutes les graves obstructions qui peuvent se former.